Nous aimerions que ce soit vrai. Mais nous sommes pris dans un système et dans un calendrier qui fait que, au moment où nous négocions les prix avec la grande distribution, nous avons déjà réservé des hectares auprès des agriculteurs, qui les ont déjà ensemencés. Quand nous négocions, les pois sont déjà là, car nous n'avons pas pu changer les dates de négociation. Nous sommes donc soumis à une contrainte de volumes.
Pendant ce temps, les grands distributeurs se rassemblent. Il n'y en a plus que quatre en France !