En voulant diminuer de 120 jours à 90 jours le délai entre l'entrée sur le territoire et le dépôt d'une demande d'asile dans le cadre d'une procédure dite « normale », le Gouvernement propose un rabot budgétaire au détriment des droits les plus fondamentaux des demandeurs d'asile, notamment celui à un examen sérieux de leur dossier.
Nous proposons la suppression de l'article 6 afin que la procédure accélérée soit limitée à certains cas.