Nous sommes tous d'accord en tout cas sur la notion de quotas à défendre.
À mon tour de vous remercier mesdames, chers collègues, pour ces échanges tout à fait passionnants. Je crois qu'aucun d'entre nous ne peut se satisfaire de la situation actuelle. Nous partageons tous le même objectif qui consiste à permettre aux femmes d'occuper la place qui leur revient. Cela passe certes par des actions ciblées en matière d'orientation et de formation ; vous avez parlé de plafond de verre, de la force du groupe pour le faire exploser – j'y crois beaucoup. Vous avez aussi parlé de batailles sans guerre. Je crois que nous avons tous intérêt à la gagner. Mais ce n'est pas la bataille que nous avons intérêt à gagner, c'est la guerre. Les domaines de stéréotypes du genre persistent, c'est à nous de les faire reculer.
Les présidents de nos trois structures vont réfléchir ensemble de manière à pouvoir diffuser le plus largement possible ces idées et propositions. Je crois que l'idée de notre collègue Céline Calvez de nous retrouver d'ici un an est très intéressante et j'espère que nous pourrons réunir de nouveau une représentation d'aussi haut niveau.