Les belles années de prospérité financière de la CNR sont derrière nous et, comme vous l'avez très bien expliqué, Madame Elisabeth Ayrault, le niveau des fleuves n'est pas le seul à être de plus en plus aléatoire : il en est de même du prix du kilowatt-heure et de la consommation d'électricité, qui connaissent tous deux une baisse tendancielle évaluée à 30 % à l'horizon 2050 par le Gouvernement. Dès lors, envisagez-vous une nouvelle diversification des activités de la CNR, ou seulement des développements à l'étranger ?
Par ailleurs, vous avez évoqué une « évolution » du « capital humain », mais en restant un peu floue sur ce thème : pouvez-vous nous préciser si une partie des 1 400 postes de la CNR peut se trouver menacée ?