Je voudrais m'associer à la demande formulée par mes collègues, pour la sérénité et le respect des débats. Je comprends tout à fait ces interpellations et j'estime qu'à situation exceptionnelle, réponse exceptionnelle.
Je comprends aussi votre agacement, monsieur le président, face à cette demande impromptue, en pleine séance mais il faut prendre en compte la gravité de la situation. Tout le pays s'interroge aujourd'hui, y compris dans nos circonscriptions.