C'est une honte, une honte absolue ! Ne me dites pas que c'est faux, parce que je l'ai vu moi-même aller se cacher dans un bureau voisin, quand les représentants du peuple exigeaient la présence d'un ministre. C'est un scandale !
Madame la garde des sceaux, j'ai beaucoup de respect pour vous. On vous envoie ici en rase campagne. Nous pourrions supposer que la caravane doit passer et le débat se poursuivre dans l'hémicycle. Mais, mes chers collègues, imaginez-vous dignement que nous puissions sereinement débattre…