Monsieur le président, nous assistons à un abaissement du Parlement : en tant que vice-président de l'Assemblée nationale, vous ne pouvez pas l'accepter. Il est aussi de votre responsabilité de défendre nos institutions. Je le répète, même si je sais que cela vous gêne : Claude Bartolone n'aurait jamais toléré une telle situation. Jamais !