Vous avez raison, monsieur le président : je m'y soumets.
Un responsable politique doit venir devant l'Assemblée. Vous devez savoir, mes chers collègues, car vous en avez le droit, que nous avons demandé à la présidence de l'Assemblée que la séance soit suspendue aussi longtemps qu'un membre du Gouvernement ne sera pas venu pas nous libérer de cette crise – une crise n'étant rien d'autre que l'enfermement dans un rôle.