Franchement, je n'ai pas compris en quoi le texte levait les réserves faites par le Conseil constitutionnel en 2016. Nous créerions ici un gigantesque aspirateur de données hertziennes dont certaines touchant à la vie privée. Cela concernera aussi bien le wifi que le bluetooth ou encore la téléphonie 3G… J'insiste : les réserves formulées par le Conseil constitutionnel ne sont pas du tout obsolètes. Cet article nous paraissant liberticide en ce qu'il ne garantit pas le respect des correspondances privées notamment, il serait sage de le supprimer.