Autrement dit, ce que nous vous demandons depuis ce matin figure dans la Constitution et n'a donc rien d'extravagant. J'ajoute, à l'intention de notre collègue Richard Ferrand, que notre travail couvre l'ensemble des activités d'une assemblée. Et, lorsque nous demandons à auditionner le Premier ministre, nous sommes dans notre rôle.
Je finirai en notant que ce que vous faites n'est pas vraiment dans l'esprit de la Ve République. Et le paradoxe, c'est que ce soit moi qui sois obligé de vous le rappeler, alors que je suis partisan de la VIe République.