Je voudrais revenir quelques instants sur les propos tenus par M. Questel, qui a fini son intervention en disant aux collègues de l'opposition qu'ils n'aimaient pas la France. Je tiens à dire que ce qui nous rassemble tous, c'est notre attachement à la France et à la Nation. Tenir de tels propos dans cet hémicycle, c'est extrêmement grave. Cela relève d'une vision manichéenne. Peut-être est-ce celle du groupe La République en marche, qui définit le bien et le mal, ceux qui aiment la France et ceux qui ne l'aiment pas. Je tiens à affirmer que nous sommes extrêmement attachés à notre pays. Je ne laisserai pas dire, par des collègues, qu'il y aurait ici des députés qui ne le sont pas.