M. Bernalicis a été mis en cause et accusé. Voilà ma réponse, faites-en ce que vous voulez. Ce n'est pas notre ligne politique à cette heure que d'user de telles pratiques.
Je dis aussi au président que les remarques de mes collègues ne le visaient aucunement. Nous ne pensons pas que le président de l'Assemblée ait décidé de rendre public ce qui se passait au sein de la commission. C'est évidemment une accusation absurde, monsieur le président. Je tiens à souligner, au cas où il y aurait une ambiguïté, que nous ne vous accusons pas de cela.
Cependant, il y a tout de même un problème. La vérité, c'est que tout le contenu du débat, à mesure que celui-ci avait lieu, était connu à l'extérieur. Je ne sais pas ce qu'il faut faire de cette information, mais je pense qu'elle mérite mieux que la manière dont nous nous déchirons entre nous alors que personne ici n'est peut-être responsable de la situation.