Voilà la réalité ! Ce n'est pas une affaire Collomb, pas même une affaire Philippe ; c'est une affaire Macron, et vous le savez très bien. Je vous demande donc, mes chers collègues, à vous et à M. le président de l'Assemblée que je sais sage : ne croyez-vous pas qu'il serait opportun que chacun d'entre nous retourne dans sa circonscription écouter les Français ?