Pourtant, le porte-parole de l'Élysée nous a indiqué, jeudi matin, que M. Benalla avait fait l'objet d'une sanction particulièrement grave, d'une gravité jamais atteinte sous la Ve République pour un membre du cabinet de la présidence de la République.
Dès lors, mes chers collègues, si l'on en croit le président de l'Assemblée nationale, le porte-parole personnel de M. Macron a menti à la presse, à la représentation nationale et aux Français. Dans d'autres démocraties, un tel mensonge entraînerait des conséquences directes pour le Président de la République.