Intervention de Éric Diard

Réunion du mercredi 6 juin 2018 à 11h00
Commission des affaires sociales

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Diard :

Merci pour ces interventions liminaires qui sont particulièrement intéressantes, mais aussi anxiogènes, du moins pour certains parlementaires, dont je fais partie. Les défis de l'avenir nous conduisent à nous interroger.

En ce qui concerne l'encadrement juridique, il est clair que le robot ne doit pas être un homme ou un animal. Pouvez-vous revenir sur cette question ? En revanche, l'intelligence artificielle peut être mise au service de l'homme en remplacement de certains animaux, par exemple pour rechercher des individus ou prévoir des événements tels que les tremblements de terre – des animaux en sont capables. Des cancérologues et des oncologues disent que des animaux peuvent aussi détecter certains cancers grâce à leur odorat, et l'on envisage maintenant des nez artificiels qui permettraient de prévoir l'apparition de certains cancers. J'aimerais vous entendre également sur ce point.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Cette législature étant désormais achevée, les commentaires sont désactivés.
Vous pouvez commenter les travaux des nouveaux députés sur le NosDéputés.fr de la législature en cours.