Non seulement je suis angoissée, mais j'ai le vertige ! J'ai bien saisi l'enjeu de partage et de solidarité à l'échelle mondiale que soulève l'intelligence artificielle.
En vous entendant expliquer que le robot, en médecine, ne commet d'erreur qu'une fois sur dix, lorsque l'homme se trompe une fois sur deux, je me suis demandé si, dans le domaine de la loi, il ne serait pas également supérieur à l'homme. Ne serait-il pas plus à même que nous de rédiger ces lois de bioéthique ? C'est une question vertigineuse.