En cohérence avec nos débats de première lecture, j'émets un avis défavorable à ces amendements visant à supprimer les conditions d'une mobilisation massive du CPF, qui concrétise le passage d'un droit formel à un droit réel – à l'heure actuelle, le CPF est très peu mobilisé –, dans le cadre d'un dispositif plus lisible et plus compréhensible de l'ensemble des actifs.