En première lecture, les deux chambres ont amélioré le texte initial en formalisant les modalités de co-construction des actions de formations dans le cadre d'un accord d'entreprise. Le Sénat a renvoyé à l'accord le soin de définir les actions de formations éligibles à ce mode de financement, tandis que l'Assemblée nationale a prévu les modalités de prise en charge des frais pédagogiques.
Il convient de parfaire le dispositif en précisant que l'entreprise peut aussi prendre en charge, le cas échéant, la rémunération du salarié.