Sur certains points, quand la concertation n'a pas abouti, le Gouvernement, voire le Président de la République, tranchent, comme cela a été le cas pour l'assurance chômage. Les ménages investissent chaque année environ 3 milliards d'euros dans la formation, ce qui représente 10 % des financements engagés. Pourquoi ne pas permettre que cet argent transite par le compte épargne-temps, puisqu'il s'agit d'un engagement fort du salarié ?