Il s'agit de revenir à l'esprit du texte adopté en première lecture par l'Assemblée nationale. Plus précisément, cette disposition, qui avait été adoptée par notre commission, ouvre, à titre d'expérimentation, la possibilité de faire appel à la médecine de ville pour la visite d'information et de prévention lors de l'embauche d'un apprenti. Cette mesure de simplification ne réduit en rien les compétences de la médecine du travail en la matière.