Vous faites une lecture erronée du texte de nos amendements : il ne s'agit pas de prélever sur les fonds mutualisés mais simplement d'ouvrir la possibilité à l'entreprise de prendre en charge la formation. Il y a un parallélisme des formes avec l'amendement qui nous a été proposé tout à l'heure par le Gouvernement, qui portait sur les possibilités de financement du CPF. C'est une entrave à la liberté que d'empêcher l'entreprise de participer financièrement à la formation de l'un de ses salariés, si elle le souhaite.