Pour faciliter l'accès à la formation des salariés qui ont peu de droits inscrits, il est proposé de leur permettre d'abonder leur CPF de sommes correspondant à des jours de repos non pris, en fixant toutefois une double limite : ce versement ne pourra pas dépasser dix jours annuels et ne pourra s'appliquer qu'au-delà de vingt-quatre jours ouvrables.