Les « copinages malsains » évoqués hier en commission d'enquête par le préfet de police ne font pas une affaire d'État.
Vous voulez la vérité, vous voulez la lumière : l'ensemble des procédures engagées permettront de connaître précisément l'enchaînement des faits et d'établir, le cas échéant, les responsabilités individuelles.