Monsieur le président Ferrand, comme moi, il a dû vous arriver d'entendre des critiques à l'égard du Gouvernement, qui ne respecterait pas l'Assemblée. Eh bien, j'espère que, dans cette ambiance électrique, dans cette tension palpable, ne s'expriment pas des signes désobligeants à l'égard du Parlement et qui ne seraient pas à l'honneur de cette maison.