Je profite de cette occasion, madame la ministre, pour soulever une question qui reste aujourd'hui pendante : certains jeunes qui souhaitent embrasser ces professions ne peuvent aujourd'hui s'inscrire dans certains CAP, même de façon dérogatoire. Pour certaines formations, par exemple celle de barman, il faut en effet être majeur, ce qui pose problème. J'en ai fait plusieurs fois la remarque, y compris à votre cabinet.
Il y a des jeunes motivés par ce secteur qui embauche et qui permet une bonne insertion professionnelle. Or rien ne bouge, malgré les alertes lancées depuis six mois par les professionnels. C'est dommage. Il faut débloquer cette situation : les jeunes attendent et aimeraient commencer leur CAP le 1er septembre prochain.