Je relève d'ailleurs que quelqu'un a menti : soit le préfet de police, soit vous. Vous nous dites avoir vu ces vidéos le 2 mai après-midi et être, à ce moment-là, entré en contact avec l'Élysée et la préfecture ; mais le préfet de police nous a expliqué que, le 2 mai au matin, il a été appelé par l'Élysée, où son correspondant venait aux nouvelles sur l'affaire Benalla, et que, lorsqu'il avait prévenu le ministère, on lui avait répondu qu'on était déjà en discussion avec l'Élysée pour savoir ce que faisait cet homme à cet endroit !