La seule chose que je peux vous dire, c'est que vous auriez tort de croire que quelque procédé que ce soit nous fera nous contenter de deux minutes dans un débat comme celui que nous avons eu avec le Premier ministre. Le moment est venu pour nous de dire ce que nous pensons : c'est ce que nous faisons. Tout à l'heure, vous délibérerez peut-être enfin dans le monde que vous aimez, celui où l'on applaudit M. Benalla, mais sans nous.