On avait l'impression que la volonté d'Emmanuel Macron, c'était de redonner du revenu au producteur et d'offrir une alimentation de meilleure qualité au consommateur. Or, en fin de compte, on s'aperçoit que ni les uns ni les autres ne seront satisfaits.
Et puisque vous avez évoqué les victimes collatérales, monsieur le président, on ne peut pas ne pas penser aux salariés des entreprises agro-alimentaires et de la grande distribution qui travaillent dans des conditions souvent compliquées et avec des salaires qui sont, là aussi, loin de répondre à une répartition équitable de la richesse créée par leur travail.