Mais on le fait déjà, par le biais du numerus clausus que l'on applique aux élèves de fin de première année et aux internes. On l'a fait aussi, ces dernières années, en ouvrant davantage de postes. Mais c'est une régulation théorique.
On peut décider qu'il y aura davantage de médecins à la rentrée 2019, non pas en région Centre-Val-de-Loire, mais à Châteaudun. Seulement, dans la pratique, les étudiants qui sortent de l'internat risquent de dire qu'ils préfèrent aller à l'hôpital où il y a des postes, ou dans l'industrie pharmaceutique, ou en Angleterre. Je reçois depuis six mois les syndicats d'étudiants, et ce sont les réponses que j'obtiens.