Les écoutes sont autorisées par le Premier ministre, sur demande du directeur et du directeur adjoint de mon cabinet. Le processus est clair. Y a-t-il un circuit parallèle ? À ma connaissance, non. Je précise que nous parlons, depuis ce matin, de deux personnes : cela fait peu pour établir un circuit parallèle… Pour l'heure, sous réserve de ce que montrera l'IGPN – j'attendrai les conclusions de l'enquête judiciaire et de l'IGPN pour me prononcer définitivement –, seulement deux personnes sont mises en cause.
Y a-t-il un commandant de police détaché à l'Elysée ? Oui, c'est normal, il en a toujours été ainsi.
Par qui le poste de radio et le brassard ont-ils été remis ? C'est ce que devra détecter l'IGPN. Je n'en sais strictement rien aujourd'hui. C'est pour cela, d'ailleurs, qu'une enquête est confiée à l'IGPN.