Le traducteur lui indiquait ce que la personne assise en face de lui, visage toujours fermé, lui disait de ses conditions de rétention ou de la prolongation de celle-ci. Il n'avait rien d'autre à répondre que oui ou non. Il y avait avec lui un avocat qui n'avait pas le droit de s'exprimer.
Tout cela est déjà très difficile, même quand la personne est présente. Je n'ose même pas imaginer ce que cela peut donner derrière un écran, si elle n'est pas d'accord pour que cela se passe ainsi !