Permettez-moi de finir, monsieur le président, car j'ai perdu un peu de temps, au début de mon intervention, au sujet du scrutin public.
Le fichage d'enfants étrangers est une marotte de l'extrême droite. Certains de ses représentants prônent ainsi le fichage des enfants musulmans, et c'est aussi ce que fait le premier ministre italien, qui est tant critiqué par M. Emmanuel Macron. Nous nous opposons donc très vivement à cette disposition et j'espère, mes chers collègues, que vous prendrez conscience du danger qui s'immisce dans un tel article.