Madame la rapporteure, vous avez commencé votre discours introductif en citant un sondage indiquant le pourcentage des Français défavorables à l'accueil des migrants. J'aurais aimé que nous soyons plus courageux, que nous sachions aller à contre-courant et travailler dans un esprit qui nous élève. Cela fut le cas pour l'abolition de la peine de mort, ou plus récemment, quand le candidat Emmanuel Macron a fait le choix de placer l'Europe au coeur de son projet politique et de sa vision pour la France.
Pour ma part, j'ai deux convictions.