Bien sûr, il y a des fraudes, et notre rôle est de s'assurer que la loi est respectée. Mais il n'y a pas que des fraudeurs parmi les demandeurs d'asile : il y a aussi des personnes qui veulent vivre et vivre bien.
La seconde conviction, c'est que la France fait à l'accueil une place qui n'est ni ridicule ni suffisamment importante. Les freins viennent de conditions d'accueil insatisfaisantes et d'une peur de l'étranger largement alimentée. J'attends des avancées sur ces points.