Le projet de loi poursuit deux objectifs. Tout d'abord, nous sommes dans un État de droit et il y a une légalité à respecter. Dès lors, nous devons pouvoir éloigner les personnes sans titre, en situation irrégulière et qui ne satisfont pas aux conditions d'une régularisation. C'est l'État de droit, et nous devons l'assumer.
Ensuite, ce projet de loi modernise le droit d'asile, comme c'était notre intention. Nous ne l'avons pas défait, puisque nous n'avons enlevé aucune protection.