Monsieur le préfet de police, je tiens tout d'abord à saluer votre dévouement, votre engagement au service de l'État, dont nul ici ne peut douter, et la qualité du travail que vous accomplissez pour faire face à vos missions dont on sait à quel point elles sont difficiles. Il me semble important de vous rendre hommage, à cet égard.
J'en viens à mes questions. Vous avez indiqué, dans votre propos préalable, que vous n'aviez pas été informé de la présence de deux observateurs place de la Contrescarpe. Est-ce exact ?