La note du 19 juillet a bien été transmise au cabinet du ministre. En ce qui concerne la note du 2 mai, nous ne l'avons pas transmise, tout simplement parce qu'elle n'apportait rien de plus que ce que révélait la vidéo. Elle a, en revanche, été évidemment transmise à la l'Inspection générale de la police nationale, dans le cadre de la mission qui est la sienne, que ce soit une mission administrative ou une mission judiciaire. D'ailleurs, nous l'avons finalement fait passer au cabinet du ministre au moment de la constitution du dossier, preuve que nous n'avions aucune intention de la dissimuler.