Je le redis, pour que ce soit bien clair. Cela s'est passé dans le cadre de mes fonctions, le jeudi ou le vendredi d'avant le deuxième tour. Pourquoi ? Parce que c'est le préfet de police qui assume l'organisation du service et la sécurité de la soirée du deuxième tour des élections. À cet égard, je signale un événement qui a dû passer « en dessous des radars », compte tenu de ce qui se passait au même moment à la pyramide du Louvre : dans l'Est parisien, nous avons eu des regroupements de 700 ou 800 personnes assez agitées qui avaient envie de venir perturber les fêtes marquant l'élection de M. Emmanuel Macron et que nous avons tenues dans leur quartier avec le service approprié. C'est dans ce cadre-là que pour la première fois, effectivement, ce monsieur est autour d'une table à laquelle je me trouve.