Si ces faits avaient été commis par des policiers, nous aurions évidemmment engagé une enquête disciplinaire avec saisine de l'IGPN après le recueil des premiers éléments ou, en fonction de la gravité, immédiatement.
Y a-t-il eu des échanges entre moi-même et le directeur du cabinet du président de la République ? Nous avons évoqué le sujet. C'était de sa compétence et non de la mienne. L'appréciation a été portée sur les faits, une mesure a été prise, et, comme je l'ai indiqué, il ne m'appartient pas de me prononcer sur cet aspect.