Je me garderai bien de répondre à cette question. J'ai dit ce que je visais. Je le répète une fois encore : cela n'a rien à voir avec ce que vous venez d'indiquer, monsieur le député. La relation quotidienne, de proximité et de confiance, entre les équipes de l'Élysée et celles de la préfecture de police qui assurent la sécurité des déplacements du Président de la République dans la capitale et dans la petite couronne est une nécessité, et il est bien que ce soit ainsi. Mais quand on bascule de ce lien de proximité et de confiance lié au travail à des relations qui, au bout d'un moment, perdent leur pureté, eh bien, on prend des risques – c'est ce que j'ai voulu évoquer. J'ai désigné les protagonistes en question, et le reste ne me concerne pas.