Non. Au vu de ce que je savais et de ce que j'ai vu, la décision que j'ai prise d'exclure quasi immédiatement M. Vincent Crase de la réserve de l'Élysée me semblait proportionnée.
Ensuite, il appartient à la Direction générale de la gendarmerie de statuer sur l'avenir de M. Crase dans la réserve. Je pense que nous allons nous diriger vers une radiation, mais c'est une prérogative du ministre de l'intérieur. En mon âme et conscience, j'ai fait ce qui me semblait devoir être fait à mon niveau.