Toute structure, aussi perfectionnée soit-elle, est susceptible d'être améliorée – c'est le sens de la réflexion que nous avons menée sur la DSPR – mais non, il n'y avait pas de manque et non, il n'y avait pas rupture dans la continuité de sécurité avant l'arrivée d'Alexandre Benalla.
Avait-il une fonction charnière ? Pas au sens opérationnel du terme. Son positionnement en tant qu'adjoint au chef de cabinet lui permettait d'ajouter un degré dans la coordination entre ce qui se passe à l'extérieur de l'Élysée et ce qui se passe à l'intérieur, l'extérieur et l'intérieur étant liés dans un continuum de sécurité. Voici la plus-value qu'apportait Alexandre Benalla à notre dispositif global de sécurité.
Ai-je répondu, madame la députée, à votre question ?