Madame la députée, je vous confirme notre profonde détestation des barbouzes.
Ensuite, la désignation d'Alexandre Benalla a procédé d'une prérogative du directeur de cabinet. Je n'avais aucun avis à émettre et je n'en ai émis aucun.
Lors du déjeuner du 25 avril, qui n'avait pas trait à la manifestation du 1er mai, je le redis, l'ordre du jour portait sur l'amélioration du travail des policiers postés autour du palais de l'Élysée... j'ai assisté à un aparté entre MM. Alain Gibelin et Alexandre Benalla. À aucun moment, ils n'ont parlé d'armes. Ils ont évoqué des équipements.