Monsieur le député, je connais bien évidemment Ludovic Chaker puisqu'il travaille auprès de l'amiral Rogel au sein de l'état-major particulier de la présidence de la République. Nous échangeons sur certains dossiers. À ma connaissance, il n'est jamais sorti de son rôle, qui est, je pense – mais c'est sous toutes réserves – celui d'un chargé de mission.