Vous me posez en fait plusieurs questions, monsieur le député.
Je suis incapable de vous dire si M. Benalla a eu une attitude particulière avec d'autres personnels au cours de la campagne présidentielle, car je n'y participais pas. Je ne peux parler que de ce que je vis, de ce que je connais. Il est fait état, dans les médias, de la crainte ou de la peur qu'il inspirerait. Je le dis très clairement : en ce qui concerne le GSPR, c'est inexact.
Le commissaire Perroudon, mon chef d'état-major et moi-même sommes en lien constant et continu avec l'ensemble des personnels. C'est un commandement de contact. Évidemment, il y a des difficultés humaines, c'est logique, dans un groupe humain, mais je n'ai jamais entendu parler de problématiques de comportement tel qu'il en ressort maintenant.