Monsieur le député, ce qui nous intéresse ici, ce sont les événements du 1er mai. Je ne vois pas le rapport avec la sécurité du Président de la République.
Si M. Benalla avait été un professionnel de la sécurité, il n'aurait pas tenté de maîtriser un individu de la manière dont il a essayé de le faire le 1er mai. Il ne faisait pas de sécurité : il était à la chefferie de cabinet, il était adjoint au chef de cabinet, il avait des fonctions que j'ai citées et que j'ai reprécisées à moult reprises depuis le début de l'audition.