M. Benalla assurait l'interface entre, d'une part, le cabinet et, d'autre part, le commandement militaire et le GSPR.
Quant à la coordination entre le général Bio-Farina, commandant militaire du palais de l'Élysée, et moi-même, nous n'avions pas besoin de quelqu'un pour nous coordonner et nous parler. Nous sommes assez grands et assez professionnels pour le faire.
Il est vrai qu'à un moment, sous le pilotage de M. Strzoda, nous avons eu besoin de quelqu'un qui fasse une interface entre le cabinet et les services.