Si nous posons des principes fondamentaux, parmi lesquels le respect de l'intérêt supérieur de l'enfant, ce n'est pas pour les adapter aux commodités administratives. Nous devons faire primer les principes, et les commodités administratives doivent suivre. Je sais que c'est difficile. En 2016, nous avons défini une base légale. Il nous faut maintenant franchir cette marche supplémentaire. La commission des Lois doit, en responsabilité, car c'est une question d'humanité et nous y sommes tous sensibles, imposer au Gouvernement ce niveau d'exigence.