S'agissant des auditions complémentaires, comme tout le monde j'y souscris. Il faut évidemment réentendre M. Gibelin après le parjure qu'il a visiblement commis devant notre commission. Il faut aussi auditionner à nouveau le préfet de police qui n'a peut-être pas tout dit ou ne savait pas tout avant que ses subordonnés ne soient interrogés par les commissions d'enquête du Sénat et de l'Assemblée nationale.