C'était le lendemain des premières révélations par Le Monde, donc le 19 juillet. Je le répète, je tiens à votre disposition le rapport que j'ai adressé au préfet de police une heure après avoir eu connaissance des faits. Le préfet de police a lui-même été particulièrement réactif puisque, dans l'heure, il prenait deux mesures importantes, à savoir, d'une part, la saisine du procureur de la République dans le cadre de l'article 40 et, d'autre part, la demande de suspension des trois fonctionnaires concernés relevant de son autorité – dont deux relevaient également de la mienne.